Patricia Erbelding
du 14 au 30 décembre 2001
Dans “Cent phrases pour un éventail”, Paul Claudel écrit : “Le monde est si beau qu’il faut poster ici quelqu’un qui du matin au soir soit capable de ne pas remuer”.
Patricia Erbelding voyage en elle-même, joue avec la lumière, se perd dans les étoiles, transcende figure, symbole et forme au profit d’une quête de soi et de l’univers à travers le lent tempo de la contemplation. La peinture rouille au delà du regard, dans un voyage polaire.
L’artiste a réalisé de nombreux livres d’artiste, seule ou en collaboration avec d’autres, notamment avec Tony Soulié (“Texas Junction”).